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Divers organismes publics ou établissements privés font partie des vingt-huit membres de droit de l’UFOD.
Au conseil d’administration, les quinze délégués des vingt-huit membres de droit sont, outre l’administrateur général de la Bibliothèque nationale :
Les treize délégués des membres titulaires sont :
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Le 13 avril 1931, à l’initiative de Jean Gérard, vice-président délégué de la Société de chimie industrielle, sont réunis les délégués de plusieurs institutions, collectivités et entreprises privées afin de débattre de l’opportunité de créer une Fédération française des offices de documentation. Il s’agit, à l’image de l’Association of Special Libraries and Information Bureaude Londres, de coordonner les efforts qui sont réalisés en France pour l’organisation de la documentation.
Le 28 mai 1932 l’assemblée constitutive est tenue et, le 14 juin 1932, l’Union française des organismes de documentation (UFOD) est déclarée à la préfecture de la Seine. Les buts de l’association sont multiples : dresser l’inventaire des organismes français ayant pour objet la production et la répartition de la documentation concernant toutes les branches de la connaissance humaine ; provoquer une coopération entre ces organismes ; étudier les méthodes de travail relatives à l’organisation de la documentation ; faciliter l’usage systématique de toutes les sources de documentation ; établir des relations avec les groupements étrangers poursuivant des buts analogues.
Autour de Jean Gérard, président de l’UFOD, se retrouvent plusieurs personnalités qui étaient déjà présentes au Bureau bibliographique de Paris (BBP), puis au Bureau bibliographique de France (BBF) : Julien Cain, directeur de la Bibliothèque nationale, et vice-président de l'UFOD ; Henri Courteault, directeur des Archives nationales ; Albert Portevin, ancien président de la société des ingénieurs civils de France ; Philippe Wehrle, trésorier de l'UFOD ; Pierre Rosenberg, directeur de l’Office central de l’acétylène et de la soudure autogène ; Suzanne Briet, théoricienne de la documentation, représentante de la Bibliothèque nationale ; Yvonne Oddon, représentante du musée d’Ethnographie ; Charles Sustrac, représentant de l’Association des bibliothécaires français (ABF) ; Pierre Bourgeois représentant de la Société de chimie industrielle ; Éric et Georgette de Grolier représentant le BBF ; Henri Lemaître, représentant l’Institut scientifique de recherche économique et sociale et président de l’UFOD de 1944 à 1946.
Cinq ans après la création de l’association, l’UFOD organise le Congrès mondial pour la documentation universelle, qui lui offre une tribune pour s’exprimer sur l’importance de la documentation en général et en France en particulier. C’est dans le cadre de ce Congrès réunissant plus de quatre-cent participants qu’est prise la décision de transformer l’Institut international de documentation créé par Paul Otlet (1868-1944) en fédération : la Fédération internationale de documentation (FID).
Au cours d’une assemblée générale extraordinaire tenue le 18 janvier 1952, de nouveaux statuts sont adoptés. Sept buts sont alors assignés à l’association :
Les activités de l’UFOD peuvent être résumées en quatre points :
Le siège social de l'UFOD change plusieurs fois d’adresse dans Paris. D’abord sis 49, rue des Mathurins, dans le 8e arrondissement, il est transféré 28, rue Saint-Dominique (7e arr.), puis 65, rue de Richelieu (2e arr.) en 1946, 16, rue Jules Claretie (16e arr.) en 1968, 52, rue Félix Faure (15e arr.) en 1995 et 55, rue des Saules (18e arr.) en 1999.
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Siège social
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