https://rdf.archives-nationales.culture.gouv.fr/agent/053530
rdf:type
rico:beginningDate
rico:endDate
rico:authorizedBy
rdfs:seeAlso
rico:title
rico:hasOrHadCorporateBodyType
rico:generalDescription
Composition du cabinet de la ministre
Pôle Presse/Communication
Pôle Parlement/Pôle transverse
Pôle « A »
Pôle « B »
rico:history
Par décret du 2 septembre 2015, Myriam El Khomri est nommée ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social dans le 2e gouvernement constitué par Manuel Valls sous la Présidence de François Hollande.
Elle remplace ainsi François Rebsamen suite à la démission de ce dernier.
Myriam El Khomri est maintenue à ce poste dans le gouvernement de Bernard Cazeneuve du 6 décembre 2016 au 10 mai 2017, date de l'élection d'Emmanuel Macron à la Présidence de la République.
La ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social prépare et met en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle, du dialogue social et de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
À ce titre, elle prépare et met en œuvre les règles relatives aux conditions de travail, à la négociation collective et aux droits des salariés ; conjointement avec le ministre des affaires sociales et de la santé, elle prépare et met en œuvre les règles relatives aux régimes et à la gestion des organismes de sécurité sociale en matière d'accidents du travail et de maladies professionnelles.
Elle est compétente pour la défense et la promotion de l'emploi, y compris la politique de retour à l'emploi, ainsi que pour la formation professionnelle des jeunes et des adultes.
Myriam El Khomri et son cabinet sont à l'origine de la loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels.
Présenté en février 2016, par la ministre du Travail au nom du gouvernement Valls, le projet de loi vise à réformer le droit du travail afin de « protéger les salariés, favoriser l'embauche et donner plus de marge de manœuvre à la négociation en entreprise ».
ll prévoit ainsi une flexibilisation du temps de travail, des mesures concernant la médecine du travail et des dispositions sur la restructuration des branches professionnelles. Enfin, il pose les bases du futur « compte personnel d'activité ».
Ce projet de loi fait l'objet d'un mouvement de contestation. Après avoir été remanié, il est adopté sans vote par le Parlement en août 2016, le gouvernement ayant décidé d'engager sa responsabilité par l'utilisation de l'article 49.3 de la Constitution.
rico:hasSuccessor
rico:isOrganicProvenanceOf
rico:thingIsTargetOfRelation
rico:relationHasSource
rico:hasActivityType
rico:thingIsSourceOfRelation
rico:relationHasTarget