France. Cabinet de Brigitte Bourguignon, ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargée de l'autonomie (2020-2022)

Organisation interne ou généalogie

Composition du cabinet de Brigitte Bourguignon

• Directeur de cabinet : Vincent Léna
• Directeur adjoint de cabinet : Laetitia Buffet, Antoine Meffre
• Cheffe de cabinet : Nadia Idiri
• Conseillère spéciale : Patricia Blanchard-Bouvelot
• Conseiller communication/presse : Lorraine Duranville, Jean-Marie Cabrières
• Conseiller parlementaire : Tarek Mahraoui
• Conseiller social : Louis-Xavier Colas
• Conseillère société : Lorraine Dervieu
• Conseiller territoires et élus locaux : Dimitri Grygowski, Clervie Monshouwer
• Conseiller parcours de vie : Antoine Meffre
• Conseillère chargée des professions de santé et du numérique : Sophie Sergent-Decherf
• Conseillère stratégie aidants et trajectoires financières : Mélodie Simon
• Conseiller crise sanitaire et territorialisation : Louis Tapon
• Conseiller logement et décentralisation : Matthieu Vittu
• Conseillère : Pauline Sassard

Par décret du 6 juillet 2020, Brigitte Bourguignon est nommée ministre déléguée chargée de l'autonomie auprès d'Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, dans le gouvernement constitué par Jean Castex sous la présidence d'Emmanuel Macron.

Elle cesse d'occuper ce poste le 16 mai 2022, au lendemain des élections présidentielles conduisant à la démission du gouverment Castex.

La ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargée de l'autonomie, traite, par délégation du ministre des Solidarités et de la Santé, les questions relatives à l'autonomie. A ce titre, elle définit les politiques en faveur des personnes âgées dépendantes et la politique de prévention de la perte d'autonomie en faveur des personnes âgées et de leur entourage, et les met en œuvre, par délégation du ministre des Solidarités et de la Santé.

Brigitte Bourguignon et son cabinet sont chargés par le président de la République de porter la loi sur « le Grand âge ». Mais ils en sont empêchés, confrontés à la crise de la Covid–19 dans les maisons de retraite puis au scandale provoqué par les révélations sur les dérives constatées dans les EHPAD gérés par le groupe ORPEA. La loi est ainsi repoussée puis finalement abandonnée.